J'ai Paul'temps de vous écrire beaucoup!

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Métro, boulot, dodo, travaux, mais pas blogo!

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Ces jours-ci et pour un peu plus d'une semaine encore, les temps libres se font rares. La fin de session à l'université, le trop grand nombre d'heures travaillées à la Librairie Quelconque et mon récurrent défaut qu'est la procrastination font tout pour me gober mon temps...

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Je vous promets qu'aussitôt le segment école terminé, les billets afflueront comme des supplémentaires de Martin Matte ou de Star Académie. Je tenterai également d'élargir mon lectorat à d'autres personnes qu'à moi et 3-4 êtres humains que je connais haha!

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Avant de clore cette courte intervention, j'aimerais justifier le prénom masculin dans mon titre pour vous informer que le sixième tome de la série Paul de Michel Rabagliati est paru la semaine dernière. Malgré mon amour inconditonnel et connu de tous pour ces BD, les deux seules copies de Paul à Québec que nous avions reçues au départ ont été vendues à des collectivités la journée même. Évidemment, je n'étais pas présent pour contester ce lèse-majesté (j'y vais un peu fort...) commis envers mon identité de meilleur employé du monde! J'ai l'air prétentieux, mais il s'agit d'une inside à la Librairie Quelconque que je vous raconterai bientôt, promis!

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Pour en revenir à mes brebis, une douzaine de copies du dernier né de Rabagliati ont été parachutées en début de semaine à la librairie et je me suis procuré la mienne hier soir avant que l'on ferme nos caisses. Malgré un travail à remettre lundi et deux examens en début de semaine, dont un qui est cité souvent comme une forme de peine capitale par les professeurs d'histoire au secondaire, je n'ai pas pu m'empêcher d'ouvrir mon Paul pour y lire quelques pages. Bien évidemment, j'ai lu assez de planches de ce sixième opus pour construire un petit cabanon, ce qui pourrait se traduire par: je l'ai lu au complet ou je l'ai dévoré d'une seule traite!

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Tout ça pour vous dire que les Paul valent plus que la peine d'être lus et que cette série de Rabagliati a donné un nouveau souffle au petit fond de passion pour les bandes dessinées qui me restait depuis le début de mon adolescence. Je pourrais faire mon Séraphin et me dire que je vais encore plus dépenser d'argent dans l'achat de livres à cause de ce maudit Rabagliati, mais j'aime tellement ça que je ne vois aucune raison de m'en priver.

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Je dois conclure cet épisode platement pour aller continuer un travail pas si long que ça que j'étire par paresse en jubilant de voir l'été s'approcher! Je vous reviens d'ici lundi avec l'histoire du meilleur employé du monde que je suis et j'en profiterai même pour vous raconter comment l'auteur des Paul a encore plus justifié mes dépenses en bandes dessinées lors d'une entrevue à laquelle j'ai assisté il y a de cela quelques semaines à l'université.

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Bonne journée à tous! Plus que deux heures avant d'en passer dix dans la Librairie Quelconque à répondre à des clients qui seront peut-être un peu plus flamboyants que ceux d'hier soir...

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À suivre...

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