lundi 5 décembre 2016

Nostalgie... quand tu nous tiens!

Ça fait un bail que je ne suis pas passé par ici et je dois avouer que j'ai plus que vieilli depuis la dernière entrée dans ce blog (je ne compte pas celle de 2012). J'ai aussi changé de profession...

Je vois que certaines personnes s'égarent de temps à autre sur cette page et je me demandais si quelques anciens lecteurs passaient toujours par ici. Si c'est le cas, faites-moi signe!

Sinon, je songe ardemment à créer un nouveau blogue voire à transformer celui-ci afin de vous présenter les aléas de ma nouvelle carrière (depuis presque 6 ans déjà) en criminologie.

Je ne sais pas s'il y aurait de l'intérêt, à vous de me le dire!

dimanche 5 février 2012

Il y a quelqu'un?

Ouf... près de trois ans d'absence après quelques mois d'existence...

Si quelqu'un lit ce message, manifestez-vous!

Le jeune libraire quelconque est maintenant bachelier en criminologie et aurait plusieurs histoires à vous raconter...

mercredi 13 mai 2009

Pot-pourri sans vert-de-gris

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Avertissement: la lecture de ce message est déconseillé aux jeunes marmottes ainsi qu'aux gens pressés n'ayant pas beaucoup de temps devant eux. Prière de prévoir minimum 2 semaines de vacances payées avant de s'attaquer à ce texte contenant un trop grand nombre de mots pour être lu sans l'ingestion d'une bonne dose de caféine ou d'un litre de sucre bon marché. Bonne chance aux valeureux quelconques qui tenteront l'aventure. Je leur souhaite de faire partie des quelques survivants. Bonne lecture!
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Si certains d'entre vous étaient heureux de mon absence prolongée, je suis franchement désolé de vous apprendre que j'écris un nouveau billet en ce moment même. J'espère par contre que la majorité de mes Lecteurs Quelconques avaient réellement hâte que je revienne ajouter de nouvelles suites de mots qui se tiennent un peu ici plutôt que d'allonger ma période d'inaction d'encore quelques jours. Depuis quelques minutes, je tente de trouver une façon de justifier mon manque d'implication depuis une semaine, mais je ne suis parvenu qu'à une simple évidence, je n'avais pas le goût de pianoter des textes intelligemment construits (je crois qu'ils le sont tout de même un peu) ces derniers temps. Je pourrais aussi vous sortir que je vous ai écrit un long texte à la dactylo et que mon rottweiler l'a mangé en m'arrachant quasiment la main avec ses crocs tranchants. Malheureusement, je n'ai ni dactylo ni rottweiler pour vous prouver ces âneries et la seule chose qui a des crocs tranchants dans la Maison Quelconque est un être vivant parfois ténébreux se nommant affectueusement Soeur Quelconque.
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Trêve d'insultes poétiques envers ma soeurette adorée, j'ai décidé de compenser ma promesse non-tenue non pas par une longue anecdote mais plutôt par un pot-pourri de faits vécus ou de mini-événements-réactions-attitudes de la Clientèle Quelconque qui reviennent de temps à autre et qui me surprennent toujours autant. Bref, je démystifie pour vous une partie de la vérité librairienne tout en confirmant et infirmant des mythes et en dénoncant des comportements qui semblent se propager dans la populace clientèlogène quelconque malgré mes nombreuses tentatives de calmer les ardeurs menaçantes des clients mécontents et malgré mes explications répétées aux incompréhensifs les plus bornés et erronés. C'est ici que prend fin l'introduction, pour ceux qui trouvent déjà ça long, c'est le temps de quitter ou d'aller vous chercher un café puisque ça ne fait que commencer!
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J'aimerais tout d'abord parler d'une certaine race de clients qui osent ouvrir leur bottin de quartier, chercher notre numéro de téléphone pour ensuite le composer afin de vérifier que nous sommes ouverts. La démarche en soi n'a rien d'insultant, mais c'est par la suite que ça se gâte. Une minorité des gens qui font cette combinaison de gestes ont un minimum de savoir vivre pour nous poser une question au sujet de l'heure de fermeture ou d'un titre en particulier même si l'interrogation est banale et relève de la politesse. Déplorablement, la forte majorité des clients faisant de cette clique des "J'appelle pour savoir s'ils sont ouverts'' semblent oublier que nous sommes des êtres humains avant d'être des employés répondant au téléphone. Je ne comprendrai donc jamais comment quelqu'un peut appeler dans un commerce afin de s'informer des heures d'ouverture et raccrocher aussitôt qu'on répond au téléphone en se disant: ''Ils sont ouverts!''. Parfois, ils considèrent qu'expliquer la raison de leur raccrochage rapide en quelques mots suffira à satisfaire leur interlocuteur. C'est ce genre de décision qui m'ont fait vivre des conversations aussi brèves que: ''Ah, vous êtes ouverts! Cloc.'', "Hey Marie! Sont ouverts! Cloc.'' ou encore ''Yeah! C'est ouvert! Cloc.''...
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Je ne peux pas croire qu'un court et simple discours comme celui qui suit leur soit trop demandé: ''Bonjour jeune homme! Je suis désolé de vous déranger mais j'habite un peu loin alors je voulais vérifier que vous étiez ouvert en ce jour férié (puisque c'est souvent ces jours-là que ça arrive) avant de me déplacer.'' Je ne peux donc pas croire que deux-trois phrases sympathiques peuvent coûter trop cher à ces gens-là pour qu'ils nous accordent un minimum d'attention et de considération. N'ayant pas trouvé de réels moyens d'expliquer ma façon de penser à ces personnes aux cordes vocales lambineuses, je réponds toujours au téléphone quand je suis à la Librairie Quelconque, même si nous sommes fermés depuis une heure ou deux puisque ça arrive parfois que je m'y trouve encore pour compléter mes tâches pas toujours (mais souvent) passionnantes. Ce n'est pas une vengeance meurtrière, mais j'espère un jour répondre à quelqu'un une fois que nous sommes fermés et qu'il me ferme la ligne au nez en se disant qu'il a le temps de venir faire ses achats. Ça sera déjà ça de gagné... J'ai choisi de vous parler de ces clients manquant de respect puisque la Fête-de-la-Reine-de-Dollard-des-Ormeaux-des-Patriotes-de-en-veux-tu-en-vlà-des-fêtes-quelconques s'en vient et que je crains qu'ils prolifèrent encore une fois sur nos lignes téléphoniques en cette journée fériée ou tout le monde se demande qu'est-ce qui est ouvert et qu'est-ce qui est fermé! Je me croise les doigts...
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Sans vouloir avoir l'air de blaster les clients tout le long du message, je continue dans la même direction en mentionnant à quel point j'ai de la difficulté à rester de glace devant les gens qui semblent m'accuser de vol, de trahison ou de meurtre matériel lorsque le livre qu'ils ont ou vont commandé est épuisé ou discontinué. Est-ce que je suis le seul à ne pas être surpris lorsqu'un livre sur la numérologie ou le taekwondo d'un auteur quelconque publié par une maison d'édition quelconque il y a plus de dix ans ne soit plus disponible sur le marché? On s'entend que les réimpressions ne doivent pas être méga conseillées quand un livre se vend à quelque chose comme cent exemplaires à travers tout le Québec.
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Cela ne représente qu'une moitié de ce genre d'intervention de la part de ma Clientèle Quelconque puisqu'une autre partie d'entre eux ne sont pas en colère parce que leur livre est épuisé, mais bien parce que le dernier tome de la série qu'ils adulent n'est pas encore paru. Plutôt que d'en vouloir à l'auteur, à l'éditeur, à l'imprimeur ou au distributeur, ils s'acharnent sur le Jeune Libraire Quelconque que je suis parce que le livre était prévu pour le 1er et qu'on est aujourd'hui le 5 et que le livre n'est toujours pas arrivé. Ces gens sont les mêmes qui engueulent les commis de station-service au sujet du prix de l'essence exorbitant et les mêmes qui s'emportent contre les caissières à l'épicerie parce qu'il ne reste plus de papier de toilette dont le spécial finissait aujourd'hui.
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Autrement dit, je n'accuse personne en particulier puisque ça arrive tellement souvent que ce serait impossible de choisir un gagnant. Seulement, je l'écris et le déclare dans l'espoir que je réussirai à décourager la prochaine personne qui tentera de m'inculper de la disparition du titre qu'elle recherche ou de la lenteur avec laquelle l'auteur qu'elle admire rédige ses romans. Je ne contrôle ni le phénomène de l'offre et de la demande, ni le nombre de fois où le syndrome de la page blanche affectera votre écrivain favori. Je dois également vous souligner que certains d'entre eux, plutôt que de se fâcher, préfèrent croire en mon incompétence plutôt qu'en l'épuisement de leur livre ou de la non-parution du tome tant attendu. ''Je vais aller chez Archambault, ils l'ont sûrement reçu!''. Oui! Oui! Bonne chance...
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Cela m'amène à vous parler d'un autre type de clients qui sont toujours prêts à se battre pour ne pas modifier quelque peu le titre ou l'auteur du livre qu'ils recherchent par la force d'un orgueil quelconque qu'il m'est difficile de comprendre. Ceux-là sont définitivement enclins à penser que je suis un incompétent fini qui ne connaît pas son stock plutôt que d'accepter le fait qu'ils se sont trompés. Je vous épargne d'autres élucubrations sans exemple et vous raconte quelque chose qui s'est passé il y a deux ou trois jours. Un client qui vient à la Librairie Quelconque occasionnellement se présente à mon comptoir alors occupé par une collègue quelconque et moi-même et nous demande si nous avons les livres de Wayne Ryder. Elle commence à chercher dans la base de données pendant que je songe intérieurement que ça ne me dis rien du tout. Finalement, elle ne trouve rien ni dans notre système, ni dans celui qui nous permet de commander les livres que nous n'avons jamais reçu et qui ne sont donc pas répertoriés dans notre programme de classement.
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On demande alors au client s'il connaît le titre et il nous dit que ça ressemble à Changez votre vie et vos pensées. Un flash se fait alors dans ma tête puisque je pense à l'auteur de psychologie Wayne W. Dyer qui a écrit un livre avec un titre semblable. Je cherche donc dans le système et trouve le titre suivant: Changez vos pensées, changez votre vie par Wayne W. Dyer. Je fais donc part de ma découverte au client qui au lieu d'abdiquer et d'accepter que je lui montre le livre, me dit qu'il est certain que ce n'est pas Dyer mais bien Ryder même si le titre semble être pas mal pareil! J'insiste donc en disant que JE suis pas-mal-très-certain-méga-sûr-que-j'ai-trouvé-son-livre. Cependant, il me dit qu'il serait pas-mal-très-méga-full-genre-style-surpris que ça soit Dyer le nom de l'auteur. Plutôt que de m'obstiner pendant 45 minutes avec Tête-de-cochon-quelconque, je décide d'aller chercher le livre en question et de lui présenter. En voyant le livre, le client comprend qu'il avait tort mais il me remercie rapidement sans s'excuser, trop lâche pour admettre qu'il s'était trompé. Je le regarde donc se diriger vers la caisse en souhaitant secrètement qu'il lise attentivement les propos de Wayne W. Dyer et qu'il finisse par Changer ses pensées et changer sa Tête-de-cochon quelconque...
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Je m'adresse finalement à ceux qui ont survécu à l'interminable lecture de ce texte sans fin. Ça suffit pour aujourd'hui, mais je reviendrai (plus rapidement que la dernière fois) avec une deuxième partie de Pot-pourri sans vert-de-gris puisque des clients comme ça, j'en ai des tonnes de copies (copyright P-K. Pédalo). Je vous demanderais seulement de ne pas envoyer de message à Blogger pour les insulter parce que je n'écris pas aussi souvent que vous le souhaitiez. Ils n'y sont pour rien, je viens de vous en parler! Un peu de gros bon sens quelconque, pardieu!!! :-)
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jeudi 7 mai 2009

Endettement volontaire

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Je quitte la Maison Quelconque pour aller travailler dans environ 75 minutes et je viens vous saluer en passant avant de commencer ma demi-semaine de travail (3,5 jours... c'est-ti une demi-semaine ça ou non?)... Alors je vous salue! Bye!
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Ç'aurait pu être cocasse, mais je ne suis pas avare de mes idées à ce point-là. Donc, comme je disais, c'est dans peu de temps que commence le boulot qui m'occupera pendant quelques jours une fois de plus et peut-être que certains clients seront assez colorés, éclatés ou imbéciles pour être cités ici! Parlant de ma Clientèle Quelconque, je regardais mes derniers textes et je me rends compte que je ne vous ai pas vraiment gâtés en terme d'anecdotes liées aux clients. Je trouve cela dommage puisque j'en ai une quantité incroyable en banque alors prenez cette phrase-ci que j'écris en ce moment, pas l'autre d'avant là, celle-là que vous lisez présentement, elle LÀ! Ah puis finalement ça sera la suivante... celle qui suivra celle-ci. En tout cas, vous verrez bien laquelle. OK. Suffit les enfantillages.
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(Bruit de rembobinage!) (Rewind pour les anglos... ou pour tout le monde. Qui dit REM-BO-BI-NA-GE?!)
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Bref, prenez cette phrase-ci comme une promesse d'anecdote clientèlogène ou clientélique pour mon prochain article-billet-texte-rédaction-paquets-de-mots-formant-un-tout. C'est fait, chose promise, chose due... je suis donc en dette envers vous, mais ça n'implique pas la possibilité d'envoyer un huissier à la Maison Quelconque. Je crois que mes Parents Quelconques n'y comprendraient rien et le renverraient à coups de pied dans le veston. Parlant de dettes et de devoirs, il faut que je vous quitte pour aller remplir mes fonctions librairiennes!
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À la bientôt là... (Le la est voulu, je trouvais ça poétique...)
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lundi 4 mai 2009

De « vraies » vacances éphèmères

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Je fus quelque peu déçu quand j'appris que je n'aurais pas droit à 2-3 congés d'affilée. Eh non! Patron Quelconque a décidé que je devais travailler mardi puisque c'est la journée la plus occupée côté réception de livres. Je peux donc profiter d'une courte pause aujourd'hui et je dois retourner sur le champ de bataille dès demain 11h. Je pourrai ensuite gambader dans une journée sans obligations mercredi et je me rendrai une fois de plus à la guerre comme à la guerre jeudi en fin d'après-midi. Mon horaire ressemble donc à 36 heures réparties entre demain et les jours correspondant aux acronymes suivants: J.V.S.D. À ne pas confondre avec: Jérusalem vous salut, Dieu! Bref, ce sera une semaine quasi complète (frôlant les 40 heures) pour commencer mon tiers d'année off school!
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J'oubliais que je ne vous ai jamais précisé quelles étaient mes tâches principales au sein de la Librairie Quelconque. En fait, étant donné qu'il s'agit d'une petite librairie indépendante où le nombre d'employés dépasse la dizaine seulement lors de la rentrée scolaire, la plupart de mes collègues qui y travaillent depuis plusieurs mois font à peu près tout. Autrement dit, le service à la clientèle, la caisse, placer en tablette les livres reçus, retourner les livres aux fournisseurs... toutes ces tâches sont réalisées par plus d'une personne (lire: presque tout le monde). Cependant, certains d'entre nous sont meilleurs pour conseiller les clients puisqu'ils lisent plus ou font la réception de livres et voient donc conséquemment plus de livres passer entre leurs mains que les caissières. On en reçoit plus que l'on en vend... évidemment!
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Je fais donc partie de cette race de réceptionneux depuis mes débuts à la Librairie Quelconque. Ce groupe ne dépasse jamais le trio et jusqu'à présent, chaque fois qu'un troisième membre nous joignait, il nous quittait. Probablement que le hasard y est pour quelque chose ou peut-être serait-ce les foudres et le comportement du Patron Quelconque? Ça reste à prouver... même si je voterais volontiers pour la deuxième option si sondage il y avait. En réalité, il est clair que les erreurs commises lors de la réception occasionnent ou plutôt engendrent des problèmes par la suite lorsqu'on cherche un titre pour quelque raison que ce soit. Cela signifie donc que les hautes instances de la librairie sont plus sévères à ce sujet et que l'on doit avoir la carapace assez solide pour ne pas se laisser influencer ou se faire avoir à l'usure. C'est ce qui explique le mieux les départs hâtifs des nouveaux membres de la clique. Petite précision pour celle qui complète le trio depuis quelques temps, je te souhaite (et espère) que la malédiction du troisième membre ait fait sa dernière victime et que tu demeures avec nous!
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Tout cela pour vous dire que je subis les pressions constantes du Patron Quelconque et de la doyenne (dans la vingtaine) de la réception puisque le sang de celui-là coule dans les veines de celle-ci et vice-versa, voici, voilà! J'aimerais rappeler qu'on parle ici d'entreprise familiale pour les esprits malsains s'imaginant des histoires de secrétaire volage qui fait des pactes de sang avec son supérieur. Pour en revenir où j'en étais, celle qui m'a appris les réceptions dès ma première journée est la fille du propriétaire et a conséquemment hérité du caractère et du fiel particuliers de son paternel. Ce n'est donc pas toujours facile, mais on s'y habitue et ça nous permet d'affronter l'adversité et d'accepter les différences plus efficacement qu'auparavant...
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Rester positif et optimiste est donc mon leitmotiv, même si j'ai tendance à le reléguer aux oubliettes quand tout ne va pas comme je le voudrais... C'est comme ça pour chacun d'entre nous, non?
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Je vous laisse à vos réflexions (et je me laisse aux miennes) pour aller lire sous les rayons de soleil matinaux plombant présentement à l'extérieur de la Maison Quelconque...
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À plus tard!
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samedi 2 mai 2009

Boulot, dodo, boulot, dodo...

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Chair laid-que-t'heures!
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Voici mon ultime mea culpa pour mon absence plus que prolongée puisque je ne vous quitterai plus aussi longuement avant la prochaine mi-session qui n'est pas prévue avant quelque chose comme 6 mois. Malheureusement pour vous ET moi (parce que je m'ennuyais de vous toaster mes tranches de vie), ma routine depuis jeudi ressemble au titre de ce billet. Boulot, dodo, boulot, dodo, boulot, dodo... j'ai enlevé le métro parce que je suis en bus ou en voiture et qu'aucune station de métro ne me sépare de la Librairie Quelconque. J'aurais pu écrire: bus, auto, boulot, dodo, bus, auto, etc... mais je trouvais ça franchement désagréable pour mes rétines et je me suis dit que ça allait être réciproque. Peu importe, fini les détails non-croustillants justifiant mon choix de titre. Je saute un paragraphe et je vous laisse lire ce qui suit.
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Enfin les vacances!!!, criais-je jeudi après que j'eus retrouvé ma liberté. Pourtant, je savais bien que je travaillais de jeudi soir à dimanche et que cela signifiait que je ne bénéficierais de vraies journées de congé qu'à partir de lundi. Je me disais que j'étais tout de même en vacances, mais c'était sans me douter que j'en aurais plein le « 17ème lettre de l'alphabet signifiant également une partie du corps humain » de travailler! Eh oui! Ce qui devait arriver arriva. La Librairie Quelconque m'emmerde en ce premier samedi de mai. Fort heureusement, je vous écris alors qu'il ne me reste qu'environ une heure à poireauter en tentant du mieux possible de ne pas m'effrondrer sur le plancher en frappant des poings et en criant: « MAMAN!!! VEUT M'EN ALLER!!! VEUT M'EN ALLER!!! ». Honnêtement, il s'en est fallu de peu pour que ça se produise...
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Bon... j'avoue que j'amplifie légèrement***, mais disons que j'attends impatiemment la fin de la représentation dominicale de la pièce dont je suis le protagoniste qui s'intitule « Jeune libraire quelconque, toujours prêt à vous servir! », présentée trop souvent à mon goût à la Librairie Quelconque près ou loin de chez vous. Il semble donc que je ne travaillerai pas avant mercredi ou jeudi suite à ma prestation de demain, ce qui me permettra de profiter de 2-3 jours de VÉRITABLES congés. Hourra!
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Je vous laisse sur votre appétit pour aller closer la librairie et je reviens vous servir d'autres niaiseries et tribulations avant même que vous n'ayez terminé de lire cette phrase-ci.
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Alla prossima i miei amici!
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***légèrement est ici synonyme d'énormément

lundi 27 avril 2009

Bientôt libre...

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Encore une fois (je me répète), je suis désolé pour l'absence totale de nouvelles élucubrations de ma part... Je tente tant bien que mal de satisfaire aux exigences de mes ravisseurs afin d'être libéré le plus tôt possible sans trop de séquelles.
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Le calvaire se termine bientôt. Un peu moins de 72 heures et l'été m'appartiendra...
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